Dans un volumineux arrêt du 7 août 2013, les conseillers de la Cour Constitutionnelle ont annulé diverses dispositions de la “loi sur le gaz”, de la “loi sur l‘électricité” et d’une loi modificative du 8 janvier 2012 relative à la poursuite de la libéralisation du marché de l‘énergie. Cela concerne à chaque fois des articles ou parties d’articles qui limitent l’indépendance de la Commission fédérale de Régulation de l’Electricité et du Gaz (CREG), ainsi que des dispositions des directives européennes en matière d‘énergie qui n’ont pas été correctement transposées en droit national.
L’indépendance de la CREG
Pas correctement transposé
Annulation totale ou partielle
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des art. 2, 21°, art. 7, art. 9, 5°, alinéa 4, art. 15, art. 16, art. 24, 3°, art. 29, art. 38, 1° et 6°, art. 55, 17°, art. 62, 3°, art. 65, 4°, art. 71, art. 72, art. 76, 3° et 7°, et art. 87, 9° de la loi du 8 janvier 2012;
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avec un impact sur les art. 1, 56°, art. 2, 41°, art. 7, art. 9, § 1, alinéa 6, art. 12, § 2, art. 12bis, § 2, art. 18, § 1, art. 20bis, § 2, alinéa 2 et art. 24, § 1 et 3 de la loi sur l’électricité;
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et un impact sur les art. 1, 56° et 57°, deuxième phrase, art. 8/3, § 1/1, alinéa 3, art. 15/1, § 3, 7°, art. 15/5bis, § 2, art. 15/5ter, § 2, art. 15/5duodecies, § 1ter, 3 et 4, et art. 15/14, § 2, 30° de la loi sur le gaz.